Arbitre au GBCH : Portrait de Paul Nehaume
Catégorie : Vie du club

Paul NEHAUME
Arbitre de Haut Niveau 

« L’arbitrage a été pour moi un tremplin

de développement personnel »

Quel est ton âge ?

J’ai 25 ans
Dans quelle équipe joues-tu ? 
Je ne joue plus depuis 4 ans maintenant car l’arbitrage me prend énormément de temps ainsi que mon boulot mais je m’entretiens autrement en courant, à la salle de sport… mais j’ai joué de poussin jusqu’en R3 
Depuis quand es-tu arbitre officiel ?
J’arbitre depuis l’âge de 13 ans soit j’entame ma 12e année et ma 4e saison en NM1
Qu’est-ce qui t’a motivé à devenir arbitre officiel ?
A vrai dire, j’étais un vrai cancre sur le terrain et je n’étais pas des plus agréables. Mon président de club m’a donc fait prendre le sifflet et j’ai très vite accroché. Il m’a poussé à devenir officiel. Et avec le temps j’ai vraiment apprécié.
Quel est ton plus beau souvenir en tant qu’arbitre ?
Mon meilleur souvenir compétitif c’est la participation au championnat du monde UNSS ou j’ai rencontré et arbitré avec des arbitres internationaux et le niveau de jeu était au-delà de ce que je faisais à ce moment là.
Le meilleur souvenir humain c’était au stage de filière d’accession au Haut Niveau à Seix. C’est un stage de « dépassement de soi » où nous sommes poussés dans nos retranchements physique et de fatigue pour tester notre lucidité etc .. Une course en montagne, du basket, une activité cohésion, tout ça dans l’Ariège avec un décor de montagnes !
Quelles compétences l’arbitrage t’a permis de développer ? 
L’arbitrage a été pour moi un tremplin de développement personnel. Cela contribue à la confiance en soi, aux compétences en management dans la vie professionnelle mais aussi à la gestion du stress et de ses émotions !
Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui n’ose pas se lancer dans l’arbitrage ?
Ce qui ralenti les gens c’est souvent l’image du mauvais rôle et de la crainte d’être mal vu et de mal vivre les choses. Si je peux donner un conseil, ce serait de ne pas s’inquiéter du regard des autres et des critiques et de ne pas avoir peur de se tromper. Franchir le pas permettra de grandir, et de se développer personnellement, et permettra de passer bien plus de bons moments que de mauvais !
L’expérience de Paul te donne envie de te former à l’arbitrage au GBCH ?